Titre du blog : Gen'kido Shiatsu,Qigong,Reiki...Vivre les énergies
Auteur : Genkido
Date de création : 10-12-2009
posté le 14-07-2015 à 20:01:55
Le Reiki à l 'hôpital de la Timone à Marseille
Le Reiki à l 'hôpital de la Timone à Marseille
En 2007, le Reiki à été introduit à l’Unité de Soin et de Recherche sur l’Esprit de l’hôpital de la Timone à Marseille.
Cette introduction a été facilitée du fait qu’un médecin de l’équipe était Maître Reiki.
Les
USA semblent bien en avance dans ce domaine, puisqu’en 2002 déjà, 60%
des Hôpitaux contactés, utilisaient le Reiki, en tant que thérapie
complémentaire d’une façon permanente. Dans ces hôpitaux, des praticiens
de Reiki sont employés par l’hôpital. D’autres praticiens interviennent
à la demande. Chaque établissement dirige ces activités dans le cadre
de la Médecine Complémentaire Alternative.
Pour ma part, je ne
tirerais pas trop hâtivement de conclusion de cette constatation. Je
suppose que face à la demande grandissante de médecines complémentaires,
les décideurs préfèrent les laisser entrer à l’hôpital, plutôt que de
voir les malades déserter ces lieux où l’on ne proposait encore hier,
que des pratiques conventionnelles.
La médecine, en France comme aux
USA, est sous le contrôle de différents groupes de pression, industrie
pharmaceutique, « ordre » ou syndicat, qui recherche avant toute chose,
un maximum de profit. De mon point de vue, les patients américains
disposent d’un gros avantage par rapport aux patients français : on ne
prélève pas 11,5% de leur salaire chaque mois pour le compte de l’ «
Assurance maladie » ; ils sont donc libres de choisir la manière de se
soigner, de s’assurer… de payer un praticien à leur convenance.
Le
Reiki est de plus en plus connu et nous pouvons imaginer que bientôt,
malgré le discrédit qu’essaie de propager les tenants du « dogme
pasteurisé », il y aura un pratiquant de Reiki dans chaque famille et de
plus en plus de candidats aux soins Reiki.
En suisse et en
Allemagne les assurances privées remboursent les soins Reiki. En France,
il semble que nous n’en sommes pas encore là. (Nous avons le meilleur
système de santé du monde alors… pourquoi changer quoi que ce soit ?)
Dans
sa façon d’agir le Reiki permet de combler un manque énergétique, de
rééquilibrer les vortex et d’agir sur l’ensemble de l’être. C’est un
moyen holistique de santé qui participe, seul ou en synergie avec
d’autres moyens, sur les voies qui mènent à la santé.
De ce point
de vu, le Reiki, n’est pas un art réservé aux « petites maladies » qui
laisserait les « vraies maladies sérieuses » aux médecins conventionnés.
Le
Reiki a déjà prouvé sont efficacité une multitude de fois, dans de
nombreux domaines, aussi bien sur des fractures des tumeurs et de
nombreuses pathologies en général.
Le praticien Reiki n’est pas
médecin, Il n’a pas été formaté par l’enseignement universitaire et ne
recherche pas à faire un « diagnostique », à couper tel ou tel morceau
du corps, qui serait cause de la maladie, à effacer plus ou moins des
symptômes par la méthode des contraires… Le praticien Reiki, transmet de
l’énergie qui agit selon les besoins du patient, sans jamais d’effet
secondaire, si ce n’est une crise de guérison, que les tenants des
médecines naturelles et holistiques connaissent bien.
Par contre
s’il est vrai que le Reiki peut agir sur les états de santé les plus
graves, il n’est pas non plus une « recette miracle. »Il est
indispensable de trouver les causes, psychiques (pensées négatives) et
somatiques (empoisonnement) de la « Mal-à-dit » afin de « Gai-rire »
mieux et plus vite.
Les séances de REIKI permettent d'équilibrer
la circulation de l'énergie dans le corps qui a pour effet de régénérer
et d'apaiser la personne qui la reçoit. De ce fait elle est plus à même
de supporter un traitement médical qui en aucun cas ne doit-être
suspendu sans l'avis de son médecin.
Laurent Maître Enseignant en Reiki
Sources
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En
France, l’USRE (l’unité de soins et de la recherche sur l’esprit) à
l’hôpital de la Timone de Marseille s’est interessée au Reiki en tant
que thérapie complémentaire dans le cadre des soins spirituels
accompagnant l’oncologie et des soins palliatifs. En 2007, elle a
d’ailleurs édité un rapport sur ses 3 années d’activité.
Extrait du rapport
Le
Reiki : avec C. Bouffier-Escrig nous avons abordé le domaine des
thérapies dites énergétiques. Notre travail s’est développé sur deux
axes : une recherche bibliographique en parallèle d’une formation au
premier niveau pour un groupe de personnes en vue d’un essai clinique.
-
Concernant la bibliographie, notre référence est la base MEDLINE. Nous y
voyons que le Reiki fait partie des thérapies complémentaires dans le
cadre général des « complementary and alternative medicine » (CAM). Ce
domaine est devenu tellement important qu’au sein du National Institute
of Health, USA, a été créé en 1999 le National Center for CAM. Il a pour
objectif de faciliter l’évaluation de ces thérapies, de proposer un
information fiable à leur sujet, et de promouvoir la recherche clinique
dans ce domaine. On peut consulter leur site à l’adresse suivante http://www.nccam.nih.gov.
Si le NIH, c’est à dire le gouvernement des Etats Unis investit dans ce
domaine, c’est qu’il s’agit sans doute de perspectives incontournables,
ce que semblent confirmer les études menées. Sur le mot clé
[Complementary therapies] , plus de 70000 références dans MEDLINE. Avec
une recherche textuelle sur le mot Reiki, on trouve 77 références : 27
de 1994 à 2002 incluse (9 années), 50 pour les années 2003 à 2007 (4 ans
et demi), donc une nette augmentation ces dernières années. Dans la
première période on constate surtout des articles traitant de
généralités alors que dans la deuxième période il s’agit d’études plus
ciblées : soit le Reiki pour les soignants, soit le Reiki pour les
patients, principalement dans le cadre du cancer mais aussi dans le
domaine du psychisme, de l’épilepsie, de la chirurgie … Le Reiki fait du
bien, cela ne semble pas faire de doute, mais si les recherches sont
prometteuses, à ce jour elles peuvent seulement suggérer qu’il agit par
réduction de l’anxiété, du stress, en apportant une relaxation
musculaire, un sens de bien-être, une diminution de la douleur. Mais,
quelle est la part du Reiki et quelle est la part du praticien, ou de la
relation entre le praticien et le patient ? Question difficile.
-
Pour réaliser un essai clinique rigoureux, randomisé et en aveugle, il
était nécessaire de disposer d’un nombre suffisant de personnes pouvant
donner du Reiki pendant un temps suffisant long, à suffisamment de
patients et selon la même méthode. Dans cet objectif, une initiation du
premier niveau a été proposée à plusieurs soignants de l’hôpital. S’en
sont suivies nombre d’interrogations qui tournent autour du fait que
tout le monde n’est pas susceptible de devenir praticien Reiki même s’il
y est favorable a priori.
Parallèlement à la difficulté de
constituer ce groupe de praticiens, il est apparu que la pertinence d’un
essai clinique randomisé pour parler de l’intérêt du Reiki (et des
thérapies complémentaires en général) n’est pas si évidente que cela.
L’article de CA. Barry2 propose à ce sujet un bon argumentaire. Nous
avons donc suspendu l’idée de l’essai thérapeutique pour nous donner le
temps de plus de réflexion. Comment s’y prendre pour obtenir une
information fiable que l’on puisse diffuser au corps médical sous une
forme qu’il puisse accepter ? Répondre à ces questions est à notre sens
un préalable au fait qu’un établissement de santé puisse envisager
officiellement de laisser des praticiens Reiki reconnus exercer à
l’hôpital, car sur le plan de ce type de soins, il existe une grande
inquiétude en France actuellement sur le fait que des sectes
infiltreraient les milieux de la santé. Le président du GEMMPI fait
partie de l’USRE et nous oblige à considérer très attentivement toutes
nos actions dans ce domaine.