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Origine du Reiki 2ème partie

Rappel historique du Reiki :

De nos jours, l’historique de la vie du fondateur du Reiki est contesté. Nous n’avons aucun écrit du Mikao Usui.

Mikao Usui né en août 1865 dans le village de" Taniai-mura " :

Mikao Usui, moine théologien du séminaire chrétien d'une province de Kyoto, fut recueilli et éduqué par les premiers missionnaires chrétiens du Japon.IL était un grand érudit, connaissait plusieurs langues dont l'Anglais et avait étudié plusieurs courants spirituels qui incluaient de très anciens préceptes de guérison.

Il utilisait une méthode chinoise, d'harmonisation par les mains (KI KO) dont l’origine est le QI Gong (Gong Fu) Il avait reçu l'enseignement du Bouddhisme tendai. Seinsei Usui a été ministre et eût des obligations commerciales.

Suite à de nombreuses années d'études et de recherches le Sensei Mikao Usui découvrit une voie du soin avec les mains par laquelle le pratiquant n'utilise pas sa propre énergie et donc ne s'épuise pas.

Le pratiquant est un " canal " pour cette énergie qui dépasse toute référence à l'espace et au temps. C'est ce qui permet de dire que l'énergie utilisée est universelle. Elle n'appartient à personne en particulier parce qu’elle est disponible pour tout un chacun. Elle est une source intarissable et la nourriture primordiale de toute forme de vie. Sans l’énergie universelle il n’y a pas de vie.

Mikao concentra sa recherche sur les Soutras Bouddhistes. Se basant sur le fait que Bouddha guérissait, Mikao cherchait à savoir si les moines connaissaient la méthode de guérison du Bouddha. Mikao n'avait que la négative pour réplique.Le Sensei resta plus de deux ans dans un monastère Zen afin d'étudier les Sutras. Après sept ans de recherches il trouva dans l'enseignement sanskrit la trace d'une symbolique servant à la guérison. Cependant, Mikao ne savait pas utiliser ces symboles.Au terme d’une retraite de 21 jours, Sensei Usui reçu de l’univers, la bénédiction qui lui donna les clés d’utilisation des symboles et de l’art de soigner. A plusieurs reprises après être sorti de sa retraite, Mikao Usui aura l’occasion d’imposer les mains. Il aura la confirmation d’avoir trouver la clé qui lui manquait.

De la légende à la réalité :

Il est commun de dire dans l'histoire du REIKI que les symboles étudiés sont du sanscrit et viennent d'un sutra. Il est difficile d'être objectif car nous n'avons aucune trace écrite du Sensei, seuls quelques-uns uns de ses élèves ont transmis un enseignement en lequel nous devons avoir foi. Il est certain que deux de ces symboles sont du Japonais (ancien). Les autres viennent du Bouddhisme Tendai et Tibétain et font référence au Shintoïsme.

Ceci est certainement une explication rationnelle puisque Sensei Usui se retira un moment donné de sa recherche sur le  lieu de culte Shintoïste d'une province de Kyoto (le Mont Kurayama). Il est donc probable que le Sensei se soit inspiré de cet enseignement pour codifier ce qui est devenu le REIKI.

Il existe encore aujourd'hui au Japon une pratique du REIKI qui serait authentique à ce qu'à transmis Sensei Usui. Personne ne sait pourquoi cela ne s’est pas su plutôt. Rappelons ici que Sensei Usui avait formé plusieurs enseignants à sa méthode mais le Reiki fût connu en occident par les enseignements des Maîtres: " Hayashi et Takata". Ils n’auraient donc pas transmis l’intégralité de l’enseignement du Sensei Usui.

Les informations les plus récentes nous permettent de mieux comprendre l'historique du REIKI.

Cependant, le Reiki traditionnel occidental n’enseignait pas les notions de « KOTOTAMA » ni les nombreux exercices de circulation du KI.

Mais aujourd'hui de plus en plus d'enseignants mettent à jour leurs connaissances et ce forme au Techniques Japonaise de Reiki (TJR).

De plus il est inexact de mettre en exergue l'appellation de Maître qui, au Japon, est un titre honorifique et ne peut être décerné à tout le monde. Le titre exact pour un formateur serait "Enseignant".

 En Asie, le titre honorifique de Maître ne s’acquiert pas en quelques heures de cours mais après de longues années d’études, de pratiques et de recherches personnelles. Jusqu’au dernier niveau (niveau III° pour certaines écoles, niveau IV pour d’autres) l’élève devrait être considéré comme un novice sur la voie spirituelle et comme un apprenti à partir de ce degré de pratique.On ne devient pas « Maître boulanger » aussi facilement que maître reiki ! Maîtriser un art demande du temps. L’étudiant sur la voie de la maîtrise du reiki doit devenir guérisseur avant d’enseigner si non, comment enseigner l’art du soin si lui-même ne sait pas de quoi il parle...